"Une femme de 22 ans a consulté pour une lésion sur la plante du pied gauche, un mamelon bien formé avec aréole et poils. Un examen au microscope du derme a montré des follicules, des glandes sudoripares et des glandes sébacées. Du tissu graisseux est noté à la base de la lésion. Les conclusions cliniques et histopathologiques sont cohérentes avec le diagnostique de tissu mamaire surnuméraire, connu sous le nom de polymastie [je crois...]. A notre connaissance, c'est le premier cas de tissu mamaire surnuméraire sur le pied."

Ceci est la traduction (approximative, je ne suis pas médecin) d'un abrégé d'article du Dermatology Online Journal.

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Extrait traduit d'un article du Wall Street Journal : 

"Alors que les femmes poursuivent leurs carrières et profitent des traitements favorisant la fertilité pour reporter leurs grossesses vers l'âge de 30 ou 40 ans, elles prennent le risque de rencontrer nombre de difficultés et de maladies pour leurs enfants. Ceci arrive, néanmoins, non en raison de leur âge mais parce que les femmes de 30 ou 40 ans... tendent à former des couples avec des hommes plus vieux...

Les pères âgés ont fait la une des journaux il y a plusieurs années quand des chercheurs de la Mount Sinai School of Medecine révélèrent qu'un homme de plus de 40 ans avait six fois plus de risques d'avoir un enfant autiste. Depuis, les recherches ont démontré qu'au même âge, il doublait le risque de schizophrénie et le triplait à 50. L'incidence de la bipolarité, de l'épilepsie, de cancers de la protate et des seins augmentaient chez les enfants dont les pères approchaient la quarantaine. Le nannisme et le syndrome de Marfan (désordre des tissus conjonctifs) ont été corrélés à l'âge avancé des pères... 

Les femmes naissent avec un à deux millions d'ovules, dont 75% disparaissent à la puberté. Des ovules meurent chaque jour mais ceux qui restent contiennent un matériel génétique qui a été crée au tout début de la vie de la femme. Pour sa part, l'homme, après chaque éjaculation, produit de nouveau des millions de spermatozoïdes et à chaque réplication cellulaire, le risque d'erreur dans le code génétique augmente..."

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En septembre 2009, je vous montrais les pieds d'une ballerine. 

Aujourd'hui, je vous montre ce que j'ai trouvé chez Titam : la jambe de Georgie Hincapie après 15 éditions du Tour de France        

Faites du sport qu'ils disaient... 

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Quelqu'un est intéressé ?

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En 1960, les jeunes filles avaient leurs premières règles à l'âge de 12 ans, et les garçons muaient à 14 ans. Ces âges étaient considérés comme normaux dans la population blanche. Au 19ème siècle, c'était environ 15 ans pour les filles et 17 pour les garçons. Autre exemple : au 18ème siècle, quand Bach dirigeait le choeur de Leipzig, l'âge moyen des jeunes chanteurs était de 18 ans, aujourd'hui les chefs de choeur ont des difficultés à trouver des jeunes de plus de 13 ou 14 ans qui n'ont pas encore mué.

Une étude scientifique, menée en 2006 au Danemark et utilisant les dernières statistiques disponibles, a montré que le développement des seins commençait aujourd'hui en moyenne à 9 ans et 10 mois. Presque un an plus tôt que dans l'étude précédente menée en 1991.

Ces évolutions sont inquiétantes à plus d'un titre. Tout d'abord, les fillettes encore en primaire ne sont pas psychologiquement prêtes à faire face à leur développement sexuel. Les parents doivent-ils les traiter en enfants de 9 et demi ou en ado ? 
Ensuite, une exposition précoce, et donc de plus longue durée pendant la vie aux œstrogènes augmente le risque de cancer du sein et de maladie cardiaque.
Enfin, il est bon de se poser la question de "pourquoi" ?  Les scientifiques danois n'ont pas de réponse claire. Parmi les raisons évoquées, on trouve en vrac : le Bisphénol A, la malbouffe, le manque d'activité physique, une mauvaise hygiène de vie, l'exposition aux produits chimiques. 

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Et c'est aussi le moment de perdre des kilos.
Voici donc des scanners du corps d'une femme de 125 kg et celui d'une femme de 60 kg.
Je ne ferai aucun commentaire.

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Ici, vous trouverez toute une galerie d'étiquettes de médicaments anciens dont certains sont assez surprenants aujourd'hui !

Les gouttes à la cocaïne pour soulager les rages de dents




Les gouttes à l'héroïne pour soulager la toux

J'ai déjà publié ici un message sur les tatouages scientifiques. Ailleurs, j'avais publié un billet sur les tatouages pour les aveugles (lien vers un blog qui en parle).

Aujourd'hui, je découvre la prothèse mamaire pour tatouage...

Ca n'est pas flagrant ici, mais ce tatouage est sur une jambe...
On croit toujours qu'on ne verra pas pire.

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Dans la première étude complète sur les avantages des savons antibactériens sur les savons ordinaires, Allison Aiello et son équipe de l'université du Michigan ont découvert que se laver les mains avec un savon antibactérien n'avait pas plus d'effet sur la prévention des maladies infectieuses qu'avec un savon ordinaire. De plus, les savons antibactériens dans leur formulation accessible au grand public n'éradique pas plus de bactéries pendant le lavage que les savons courants. Selon les chercheurs, la manière dont le bactéricide (le triclosan) de la plupart de ces savons agit sur les cellules pourrait rendre certaines bactéries résistantes aux antibiotiques les plus couramment utilisés comme l'amoxicilline.

L'article original via a Welsh View sur News Service de l'université de Michigan

Des scientifiques ont trouvé la raison pour laquelle certaines personnes sont plus souvent piquées par des moustiques que d'autres.
Des récepteurs spécifiques dans l'un des trois organes qui composent l'odorat du moustique lui permet d'identifier les différentes molécules de l'odeur humaine.
Pour un moustique, certaines sueurs ont une meilleure odeur que d'autres à cause des proportions de dioxyde de carbone, d'octenol* et des autres molécules qui constituent l'odeur humaine, et ce sont ces personnes qui se font piquer le plus souvent.
Les chercheurs pensent que la découverte du fonctionnement de l'odorat des moustiques mènera au développement d'ici cinq à dix ans d'une nouvelle génération de répulsifs qui bloqueraient l'odorat des moustiques, les empêchant de trouver des victimes humaines.
Tout en soulageant les personnes souvent piquées et celles allergiques aux piqûres de moustiques, de telles substances pourraient aussi sauver des millions de personnes dans la lutte contre la malaria, la maladie qui fait le plus de victimes dans le monde.

*ça existe ça ? je n'ai pas pu trouver de traduction.

Vu sur Telegraph.co.uk