Ces cartes montrent les stocks de poissons de l'Atlantique Nord en 1900 et en 2000, en limitant aux espèces les plus pêchées pour la consommation humaine (thon, morue, haddock, merlu, flétan, hareng, maquereau,  lieu, saumon, truite de mer, loup, esturgeon, turbot), dont la plupart sont aujourd'hui vulnérables.

Les données ont été obtenues de façon fiable, par des relevés de terrain, le décompte des prises des pêcheurs et des analyses statistiques. Le tout appuyé par une étude très complète de 24 pages (pas courant de voir un journal citer sa source...).

Le résultat est effrayant.

Un point relevé dans l'article : "[...] Aujourd'hui, cela signifie que nos politiques de pêche et notre action environnementale sont orientées vers la restauration des océans au stade auquel ils étaient dans notre souvenir, ce qui sert de base de travail.

Le problème est que la mer était déjà exploitée quand nous étions jeunes. C'est donc une sorte d'amnésie collective qui autorise petit à petit la sur-exploitation et qui l'augmente décade après décade sans que personne ne pose vraiment de questions. Aujourd'hui, les quotas et les politiques de pêche tentent de restaurer les stocks à l'état où ils étaient il y a 10 ou 20 ans. Mais comme vous pouvez le voir sur les cartes, à ce moment-là, les stocks étaient déjà bien entamés.

"La plus grande part du déclin de nombreuses espèces exploitées a commencé bien avant notre naissance". 

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Ca se passe au Viet Nam.

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Sur cette vidéo sont présentés des sets de deux photos normales qui défilent les uns après les autres. Les photos sont des photos tout à fait ordinaires, non déformées, juste alignées à la hauteur des yeux.

Lorsque vous regardez la vidéo, fixez la croix centrale : vous vous apercevrez que certains visages semblent grimaçants, déformés. Il ne s'agit que d'une illusion d'optique. Le degré de distorsion est d'autant plus important que le visage concerné se différencie des autres par une dimension particulière du front, de la hauteur de la bouche, etc.

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Dans la série des blogs de monomaniaques, en voici un qui sort du lot. Pas d'images, peu de texte, carrément brut de décoffrage : Sneezecount.

Depuis juin 2007, cette personne compte, date, décrit, situe et commente ses... éternuements. Et depuis 2007, il a éternué 2590 fois. Bonne nouvelle pour lui, il n'a pas éternué depuis le 15 juillet à 9h02.

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Les américains ont Steve Jobs, nous on a Paul Emploi.

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Une bouteille d'eau avec quelques cuillers de javel se révèle être une recette simple et efficace pour apporter de l'éclairage dans des maisons des bidonvilles des Philippines.

Ce système rend environ 50w, dans toutes les directions puisque l'eau réfléchit la lumière et ce, pendant une durée de 5 ans en moyenne.

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Les gardiens d'un zoo indien ont eu la surprise de découvrir un python qui s'était servi parmi les gazelles dont ils avaient la surveillance. 

Le serpent ne pouvait plus quitter la scène du crime en raison de sa prise de poids. Les gardiens l'ont donc capturé et relâché dans une réserve.

Source  avec vidéo, meilleure que la photo ci-dessus.

En rentrant chez elle, une femme a trouvé sur une baie vitrée une empreinte parfaite de hibou. 

Apparemment, l'oiseau s'est cogné dans la vitre, d'où cette empreinte complète avec yeux, bec et plumes. Les experts disent que la silhouette a été laissée par une sorte de poudre qui protège les jeunes plumes. La propriétaire de la maison n'a pas retrouvé l'oiseau et pense donc qu'il a du s'en tirer sans dommage...

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Nexus Contraptions est un jeu lancé par Google dans lequel il faut amener une boule vers un endroit précis (un entonnoir en l'occurence) à l'aide de gadgets divers et variés comme des aimants, des ventilateurs, des bulles, etc.

C'a fait réfléchir, c'est amusant et surtout le jeu tolère des actions pas très... conventionnelles ? l'essentiel étant d'arriver au but.

Il m'a fallu à peu près une demi-heure pour finir les 4 niveaux. Essayez !

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