Je ne traduis pas, vous avez saisi le sens, n'est-ce pas ?

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D'accord, c'est lent. Très lent. Si vous êtes accro au chocolat, vous aurez sans doute envie d'aller lécher la "cartouche d'encre"...

Reste qu'il s'agit d'un projet très sérieux de l'Université d’Exeter en Angleterre qui a développé la première imprimante à chocolat, imprimante aujourd'hui commercialisée par la société Choc Edge au prix de 3000 euros environ.

Pour en savoir plus, allez lire l'article complet sur le site de Presse-Citron

Hier, l'Université de Harvard a versé dans le domaine public l'ensemble des informations bibliographiques de ses 73 bibliothèques, soit 12 millions d'enregistrements au format MARC21 (livres, vidéos, sons, images, manuscrits, cartes...).

Ce qui m'agace, c'est que je ne trouve rien à ce sujet en français... S'il y a des bibliothécaires informés, pourriez-vous me donner des adresses d'articles ?

Source ici, là, et encore là... en anglais.

Fier(e) de porter la même taille de vêtements qu'il y a 20 ans ? Alors, ne lisez pas la suite. 

"Les vêtements avec une même étiquette de taille se sont régulièrement élargis au fil du temps. Les dimensions varient un peu selon les marques mais une étude menée par "The Economist" montre qu'un pantalon de taille moyenne 14 (en Angleterre) est aujourd'hui 10 cm plus large au niveau du tour de taille qu'un 14 des années 70, et de plus de 7 cm au niveau des hanches. Ce qui signifie qu'un 14 d'aujourd'hui correspond à un 18 des années 70, qu'un 10 va comme un ancien 14. Le même phénomène s'est produit aux Etats-Unis où pour compliquer un peu plus les choses, un 10 équivaut à un 12 ou un 14 anglais selon les marques.

Comme le poids moyen des personnes a augmenté au fil des ans, les fabricants de vêtements ont agrandi les dimensions de leurs pièces, supposant que les femmes s'y sentent mieux (et ainsi elles sont plus susceptibles d'acheter) si elles peuvent rentrer dans leur ancienne taille."

Et je dois dire que même les tailles françaises... non que j'ai pris beaucoup de poids hein...

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"Aujourd'hui, ma femme est en formation professionnelle à Paris.

Cela signifie donc qu'elle va partir tôt de la maison, me laissant le soin de gérer Balthazar et Pétronille (*), nos deux enfants âgés respectivement de 4 ans et 1 an et demi...

Bref, c'est la galère !

Je savais bien que ça se produirait un jour et que j'aurais dû potasser l'ensemble de l'oeuvre de Laurence Pernoud...

Mais soyons fort ! Tout va bien se passer, d'autant que ma chérie m'encourage de bon matin avec un gentil SMS..."

Non, ce n'est pas mon histoire. Ni la vôtre. Mais je suis sûre que si vous avez des enfants, vous auriez pu écrire certains de ces SMS... 

L'oie du Canada est une peste. 

Qui ne cède pas.

Vu par le public, les parents, le magazine Playboy, les adolescents...

... ce qu'il croit être et la réalité.

L'un des colis postaux les plus étranges jamais envoyés est parti de Grangeville vers Lewiston (Idaho, Etats-Unis) le 19 février 1914. Le paquet de 24 kg n'excédait pas la limite de 25 kg imposée par la Poste locale. Le nom du paquet était May Pierstorff, 5 ans et 9 mois.

Les parents de May voulaient envoyer leur fille rendre visite à ses grand-parents mais ne voulaient pas payer le billet de train. Après avoir remarqué qu'il n'y avait pas de régulation concernant l'expédition de personnes, ils décidèrent d'"envoyer" leur fille par la poste. Les timbres, d'un montant de 53 cents étaient fixés sur le manteau de May. 

La petite fille fit le voyage vers Lewiston dans le wagon postal du train et fût livrée au domicile de sa grand'mère par le facteur de service, Leonard Mochel.

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